Régionales et cercles : complémentaires, au service des étudiants
La présidente du CIR, Soazic Delefortrie, et Antoine de Sauvage, président de l’ADC, travaillent ensemble toute l’année au profit de l’animation étudiante
L’entraide, la camaraderie, … Autant de valeurs que portent en commun le Comité Inter-Régionales (CIR) et l’Assemblée des Cercles (ADC). Ces deux organismes travaillent tout au long de l’année pour les étudiants de l’UNamur. Complémentaires, ils ont chacun leur propre programmation.
Ça bouge du côté du CIR et de l’ADC. Depuis le début de l’année académique, les activités organisées par les uns et les autres ne manquent pas : les compétitions sportives rassemblant les cercles et l’AGE par exemple, mais ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres. Si le CIR et l’ADC partagent un point commun, c’est certainement celui de faire évoluer l’image de guindaille des étudiants. Car, ils le prouvent au quotidien, ce n’est pas que cela.
Soazic Delefortrie, la toute première femme présidente du Comité Inter-Régionales, le précise : « Au sein des régionales, nous nous occupons des baptêmes et du folklore. On a l’animation à cœur. Au-delà des baptêmes, nous organisons aussi des événements liés à nos régions telles que des après-midis bilingues, par exemple, ou encore des repas de midis centrés sur la gastronomie liégeoise ». En tout, les régionales comptent 130 comitards. Du côté des cercles, ils sont 200. Autant de personnes qui peuvent potentiellement se coordonner pour toutes les actions menées dans ces deux organismes.
Antoine de Sauvage est le président de l’Assemblée des Cercles. Les Cercles sont des espaces de détente où se réunissent les étudiants d’un même programme de cours, d’une même faculté. Parmi les temps forts proposés par l’ADC, on retrouve : les Bunkers, les galas ou encore l’organisation des vacances au ski. « Cela nous fait plaisir d’accompagner des étudiants qui se bougent. On peut tout à fait guindailler en organisant de chouettes choses », explique Antoine. Ainsi, les cercles participent à l’événement race for the Cure, ils organisent aussi des collectes de jouets ou de vêtements.
Les conditions pour faire partie d’une régionale ? Être baptisé et être impliqué, il n’y a pas l’obligation de porter une calotte. Pour faire partie d’un cercle, il n’est pas nécessaire d’être baptisé, il suffit juste de s’affilier. Chaque cercle organise un parrainage pour les étudiants de BAC 1 : les plus anciens leur servent de « coachs » tout au long de l’année.
Prochains rendez-vous :
Le 8 décembre : le CIR fête les 125 ans de la calotte par le biais d’une conférence. Des anciens étudiants sont invités à cette occasion, tous les participants à cette conférence partageront avec le public leur vision de la calotte.
Au second quadrimestre, les Cercles proposeront un projet important sur le consentement et le harcèlement sexuel. Une conférence se tiendra, notamment.