Une équipe d’étudiantes de l’UNamur doublement primée lors de la finale du Digital Law Moot Court à Paris
L’équipe Robo-DTIC (Eléonore Colson, Julie Martin, Louise Cloet et Violette De Neef), entourée de Jean-Marc Van Gyseghem (Directeur de recherche au CRIDS) et de Hervé Jacquemin (Professeur au DTIC et coach pour le moot court).
Une équipe d’étudiantes du Master en droit de l’Internet de l’UNamur (DTIC), composée d’Eléonore Colson, Louise Cloet, Violette De Neef et Julie Martin, a remporté le prix spécial du jury lors de la finale du Digital Law Moot Court, à Paris, le 15 juin 2018. Violette De Neef a par ailleurs reçu le prix spécial de l’IDEST pour sa prestation lors des plaidoiries.
Le « Digital Law Moot Court » est un concours de procès simulé en droit du numérique organisé par l’Institut du Droit de l'Espace et des Télécommunications (IDEST) de l’Université Paris-Sud. En 2018, pour sa 3e édition, le concours avait pour thème l’intelligence artificielle et les robots. L’une des questions juridiques au centre du litige était de savoir si un robot humanoïde intégré dans une famille en vertu d’une convention au pair pouvait acquérir au fil du temps une personnalité propre et distinctive et, de ce fait, s’il pouvait être considéré comme un humain au regard du droit.
Etudiantes du Master en droit de l’internet à l’UNamur (DTIC), Eléonore Colson, Louise Cloet, Violette De Neef et Julie Martin représentaient notre université sous le nom « Robo-DTIC ». Coachées principalement par Hervé Jacquemin, Professeur au DTIC, elles se mesuraient à 36 autres équipes de France, de Belgique, d’Italie et de Côte d’Ivoire. Ce sont dix d’entre elles, dont Robo-DTIC, qui ont été sélectionnées pour la finale, sur la base d’un mémoire en demande que les candidats étaient invités à rédiger dans le cadre d’une procédure devant la Cour européenne des droits de l’homme. En finale à Paris le 15 juin dernier, devant un jury d’universitaires et de praticiens, l’équipe du DTIC s’est particulièrement illustrée par la qualité tant des mémoires qui ont été rédigés que des plaidoiries. Robo-DTIC a en effet obtenu la 2e place et le prix spécial du jury, tandis que Violette De Neef s’est vue remettre le prix spécial de l’IDEST pour sa prestation lors des plaidoiries.
Cette expérience pédagogique fructueuse souligne une fois de plus l’excellence de la formation namuroise en droit des technologies de l’information et de la communication et l’expertise développée par le Centre de Recherche Information, Droit et Société (CRIDS), centre de référence en Europe dont les professeurs du DTIC sont membres.
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